Ça va faire bientôt deux semaines qu’il m’a enfermé dans un complexe souterrain sombre, froid et crasseux. Deux semaines qu’il me traîne nuit après nuit dans des couloirs qui se ressemblent tous, remplis de monstres bouffeurs de chair qu’on ne voit même pas. Deux semaines que mes soirées « jeu avec les copains » sont synonymes de cris, de larmes et de sang, et que je m’endors…
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