Amis lecteurs, pardonnez-moi car j’ai péché. De toute ma carrière de cinéphile autoproclamé, je ne me suis jamais plongé dans l’œuvre de Paul Verhoeven, encore moins son mythique RoboCop de 1987. Pourtant, moi qui suis tombé dans la marmite de la pop culture étant petit, j’en ai bouffé, du condé chromé. Son inimitable silhouette, viseur sur le crâne et Auto 9 au poing, se…
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