Est-ce qu’Ubisoft ne brillerait pas le plus fort lorsque l’éditeur laisse ses studios faire autre chose que des open worlds AAA et donne une généreuse marge de manœuvre dans sa conception tout en autorisant l’utilisation d’une grosse licence ? C’est la question que l’on se pose quand on se retrouve devant Prince of Persia : The Lost Crown. L’énième arlésienne d’Ubisoft…
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