Par une belle matinée ensoleillée de fin d’été, Seiji Matsuyama sort de prison. Il a vieilli, le monde autour de lui a changé; sa réputation et son surnom de «Gozuki» (un des deux gardiens des portes des enfers dans le bouddhisme japonais) ne veulent plus dire grand chose, sinon pour les plus anciens yakuza de son clan. Il est de surcroît malade. De ces maladies qu’on ne soigne pas et…
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