Sans doute un peu (entre autres) à cause d’Ubisoft Montréal, l’infiltration est presque devenue un passage obligé pour les jeux d’action/aventure contemporains. Mais dans les productions modernes, jouer ainsi à cache-cache se termine généralement assez mal : à grands coups de machette dans la bidoche, de nuques qui font crounch ou de lames secrètes insérées dans la carotide. Revenir…
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